Les comètes du passé
Wiki Article
Les besoins dansaient dans l'âtre du château de Camelot, projetant sur les murs en pierre des ombres mouvantes, presque allégoriques. La nuit était tombée sur la cour du tempérant Arthur, enveloppant les couloirs d'un silence visionnaire, rien que troublé par le murmure du vent s'engouffrant dans les meurtrières. Ce soir-là, une visibilité inhabituelle planait dans l’air, un frisson imperceptible qui fit tressaillir les plus superstitieux. Au coeur de la grande amphithéâtre, une féminité au regard perçant était assise sur un épais tapis de velours grenat. Son portrait, avec bienveillant et austère, portait les fournisseurs d’une pensée que miette avaient l'occasion de renfermer. Elle était de renom par-dessous l'appellation de Morgane, mais pour toujours, elle était en particulier l’incarnation vivante de la voyance, celle avec lequel les prédictions faisaient frémir autant dans les domaines qu’elles fascinaient. Les chevaliers rassemblés autour de la table ronde l’observaient avec une variété de émoi et de obligeance. Ils avaient aperçu correctement des batailles, souffert des ennemis redoutables, mais ce que Morgane lisait dans l’avenir dépassait tout ce qu’ils pouvaient affronter par la banale cadence de l’épée. Ce soir, le mat Arthur lui-même avait demandé son aide. La guerre menaçait aux frontières du royaume et il aimerait apprendre si la voyance de Morgane pouvait lui révéler l’issue des combats à venir. Elle ferma les yeux un moment, comme pour être à l'écoute de un murmure venu d’ailleurs. Puis, légèrement, elle ouvrit la creux de sa main, révélant une poudre argentée qu’elle laissa s’écouler sur un morceau de parchemin ancien. Aussitôt, les grains formèrent des caractères disparates, et son imagination se suspendit. — Le avenir du profession est suspendu à un fil, murmura-t-elle. La voyance ne ment jamais, et ce que je vois dans ces signes est une existence équivoque, tissé de trahisons et de mystères. Arthur fronça les sourcils. Il n’aimait pas préférer parler de trahison, encore moins dès lors que cela concernait votre puissance. — Peux-tu représenter plus définitive ? demanda-t-il d’un intonation grave. Morgane plongea son regard dans les faims. — La voyance ne donne pas nettement des justifications claires, mais une chose est avérée : une personne à la cour souhaite ta détriment. Un silence pesant s’abattit sur la bague. Chacun sentit l’angoisse sombrer sur ses épaules. La voyance n’était pas une souple sincérité dans ce land de chevaliers et de magie. C’était une banalité qui s’imposait avec vitesse, et Morgane en était l’une des plus redoutables gardiennes. Ainsi se lança la étude du mat Arthur pour déjouer les fils de l'avenir et déguerpir les mystères de la voyance qui entouraient son règne.
Les formes évoquaient une vieille cartomancie, une prédiction oubliée reliée au règne d’Arthur. Elles parlaient d’une défiance s’élevant sur l’intérieur du empire, d’une trahison débarquée au sein même de la cour. Un sembler similaire du trône, arborant en lui le critère du invention, devait œuvrer dans l’ombre pour culbuter l’ordre établi. La voyance annonçait que ce traître ne frapperait pas avec une lame, mais avec la ruse, dissimulant ses véritables plans après un masque d’allégeance. Les battements de cœur de Morgane s’accélérèrent. Ce que la voyance lui avait montré prenait enfin sens. Le expérience ne venait pas de l’extérieur, mais du cœur même de Camelot. Quelqu’un au nombre des chevaliers, ou cependant un diriger du tempérant, tramait un complot qui échappait encore aux regards ordinaires. Seule la voyance pouvait en montrer les contours. Un distractions sourd résonna après elle. Morgane tourna doucement le portrait, le cÅ“ur suspendu. Un habituel d’air s’engouffra dans la bague, faisant vaciller l'emportement des torches accrochées aux murs. Quelque chose ou une personne venait de franchir le borne. Elle referma rapidement le parchemin et le glissa par-dessous son manteau. La voyance lui avait écouté à museler ses émotions jusqu’au bon moment. Dans ce château où le anecdote pouvait enfiler mille faciès, mieux valait ne pas inviter les soupçons. Elle se détourna des archives, quittant la bague avec la croyance que le piège se refermait lentement sur Arthur. Lorsqu’elle remonta versification le support, le jour s’était déjà levé sur Camelot. Les chevaliers s’entraînaient dans la cour, troublant le propos et l’acier dans des éclats métalliques. Arthur observait leurs évolutions durant les remparts, son regard perdu dans des doutes lointaines. Il ignorait encore que la intimidation dont la voyance l’avait averti s’étendait déjà marqué par ses yeux. Morgane, elle, savait que le temps lui était s'étant rencontré. Les Étoiles ne mentaient jamais, et bientôt, son futur qu’elle avait entrevu commencerait à se manifester dans la réalité.